« La planification familiale est un élément essentiel que les pays devraient adopter pour leur développement ». C’est ce qu’a affirmé le Directeur général du HUB  régional pour l’Afrique du nord, de l’ouest et du centre de l’Initiative ‘FP2030’, lors d’un webinaire, organisé par le Réseau des Médias africains pour la promotion de la Santé et de l’Environnement (REMAPSEN) dans le cadre de la célébration de la  journée internationale de la « Contraception », le 26 septembre de chaque année.

« La planification familiale est un élément essentiel que les pays devraient adopter pour leur développement, car nombreux sont les pays où les femmes sont le moteur des petites entreprises. L’accès à la contraception leur donnera donc la possibilité de poursuivre leurs études ou leurs activités comme elles le souhaitent, et le temps de devenir des membres influents de la communauté », avait indiqué le Docteur Martin Migombano lors de ce webinaire, qui avait pour thème : « Elargir l’accès et les choix : Renforcer la planification familiale en Afrique de l’Ouest et du Centre ».

Le travail de son Ong consiste à combiner les synergies pour créer un environnement où les femmes jouent un rôle essentiel dans leur communauté en décidant elles-mêmes d’utiliser des contraceptifs.

Le Bureau régional du Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA), partenaire à l’Initiative ‘FP2030’ avait aussi pris part à cet échange virtuel, qui avait réuni plusieurs journalistes, membres du REMAPSEN.

Selon le Directeur régional de l’UNFPA, le Docteur Sennen Hounton, les défis sont encore énormes. Car, le taux de couverture en matière de contraception en Afrique de l’Ouest et du Centre n’est que de 25%. D’où, avait-il préconisé ; « il faut sensibiliser pour l’accès de tous aux méthodes contraceptives ».

C’est ce que fait exactement aussi l’Association malienne pour la protection de la famille. « Nous avons un taux de fécondité de plus de six enfants par femme au Mali. Ainsi, dans le cadre de nos activités de coiffeuses, nous profitons de l’atmosphère détendue et discrète du salon de coiffure, qui sont d’ailleurs très prisés par les femmes, pour partager avec elles sur les méthodes contraceptives et leur en proposer. Ce sont surtout les préservatifs et les pilules. Pour ce qui concerne les injections, nous les référons au centre de santé le plus proche », avait fait savoir la responsable de cette Ong malienne, Madame Alima Cissé.

A l’en croire, les résultats de cette démarche sont encourageants.

Rappelons que la journée internationale de la  » Contraception » a été placée sous le thème : «  Un choix pour tous : la liberté de planifier, le pouvoir de choisir ». Selon le Fonds des Nations unies pour la Population (UNFPA), ce thème vise à sensibiliser sur l’importance de la planification familiale et de l’accès à la contraception pour garantir la santé et les droits sexuels et reproductifs.

« La planification familiale est un élément essentiel que les pays devraient adopter pour leur développement ». C’est ce qu’a affirmé le Directeur général du HUB  régional pour l’Afrique du nord, de l’ouest et du centre de l’Initiative ‘FP2030’, lors d’un webinaire, organisé par le Réseau des Médias africains pour la promotion de la Santé et de l’Environnement (REMAPSEN) dans le cadre de la célébration de la  journée internationale de la « Contraception », le 26 septembre de chaque année.

« La planification familiale est un élément essentiel que les pays devraient adopter pour leur développement, car nombreux sont les pays où les femmes sont le moteur des petites entreprises. L’accès à la contraception leur donnera donc la possibilité de poursuivre leurs études ou leurs activités comme elles le souhaitent, et le temps de devenir des membres influents de la communauté », avait indiqué le Docteur Martin Migombano lors de ce webinaire, qui avait pour thème : « Elargir l’accès et les choix : Renforcer la planification familiale en Afrique de l’Ouest et du Centre ».

Le travail de son Ong consiste à combiner les synergies pour créer un environnement où les femmes jouent un rôle essentiel dans leur communauté en décidant elles-mêmes d’utiliser des contraceptifs.

Le Bureau régional du Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA), partenaire à l’Initiative ‘FP2030’ avait aussi pris part à cet échange virtuel, qui avait réuni plusieurs journalistes, membres du REMAPSEN.

Selon le Directeur régional de l’UNFPA, le Docteur Sennen Hounton, les défis sont encore énormes. Car, le taux de couverture en matière de contraception en Afrique de l’Ouest et du Centre n’est que de 25%. D’où, avait-il préconisé ; « il faut sensibiliser pour l’accès de tous aux méthodes contraceptives ».

C’est ce que fait exactement aussi l’Association malienne pour la protection de la famille. « Nous avons un taux de fécondité de plus de six enfants par femme au Mali. Ainsi, dans le cadre de nos activités de coiffeuses, nous profitons de l’atmosphère détendue et discrète du salon de coiffure, qui sont d’ailleurs très prisés par les femmes, pour partager avec elles sur les méthodes contraceptives et leur en proposer. Ce sont surtout les préservatifs et les pilules. Pour ce qui concerne les injections, nous les référons au centre de santé le plus proche », avait fait savoir la responsable de cette Ong malienne, Madame Alima Cissé.

A l’en croire, les résultats de cette démarche sont encourageants.

Rappelons que la journée internationale de la  » Contraception » a été placée sous le thème : «  Un choix pour tous : la liberté de planifier, le pouvoir de choisir ». Selon le Fonds des Nations unies pour la Population (UNFPA), ce thème vise à sensibiliser sur l’importance de la planification familiale et de l’accès à la contraception pour garantir la santé et les droits sexuels et reproductifs.