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dimanche, septembre 8, 2024
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Lutte contre le VIH/SIDA: Le Dr Etienne Mpoyi de l’Oms loue le bien fait du traitement

« (…) Parmi toutes les interventions il y en a une qui est très  importante, c’est le traitement. Donc si on arrive à dépister toutes les personnes  positives à les mettre sous traitement (…) et qu’il y ait une charge virale supprimée, je pense que c’est sera un grand pas vers l’élimination du VIH, parce qu’une personne qui a une charge supprimée  pendant au moins six mois cette personne a très peu de risque de transmettre le VIH et ça c’est un grand avantage pour la lutte contre le VIH », avait fait savoir le Docteur Etienne Mpoyi Mutombo, administrateur national VIH et Hépatites au bureau Pays de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) lors du séminaire scientifique, organisé par l’IAS Education Fund en collaboration avec l’Ong «  Femmes Plus » et l’appui du Programme commun des Nations unies contre le VIH/SIDA (ONUSIDA).

Selon ce médecin, qui intervenait sur les avantages de la «  Prévention combinée », celle-ci est un ensemble d’interventions qui permet d’optimiser la prévention du VIH.  Et de souligner que ces interventions sont taillées sur mesure par rapport à une population donnée dans  un pays en tenant compte de la situation épidémiologique  des personnes  qui sont les plus à risque.

« Donc, à chaque groupe de populations on essaie de voir quelles sont les interventions nécessaires et parmi ces interventions, il y en a qui sont biomédicales comme les Arv, la prophylaxie aux Arv, le préservatif, et d’autres interventions pour casser les barrières dont notamment les interventions structurelles pour réduire la stigmatisation, les violences parce que s’il y a la discrimination et la stigmatisation les gens ne viendront pas chercher les services », a-t-il souligné.

Cependant, poursuit le Docteur Etienne Mpoyi Mutombo, administrateur national VIH et Hépatites au bureau Pays de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS),  il y a aussi des  interventions qui permettent d’améliorer la demande pour que les gens viennent au traitement. Et pour ceux qui viennent au traitement, avait-il insisté: » de faire en sorte qu’ils puissent continuer à prendre les médicaments. Et donc tout ça mis ensemble permet d’offrir une gamme d’interventions de prévention qui soient plus efficaces« .

Rappelons que ce séminaire de deux jours, soit du 22 au 23 juin avait pour thème : « Science et communautés dans la réponse au VIH en Rdc ».

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« (…) Parmi toutes les interventions il y en a une qui est très  importante, c’est le traitement. Donc si on arrive à dépister toutes les personnes  positives à les mettre sous traitement (…) et qu’il y ait une charge virale supprimée, je pense que c’est sera un grand pas vers l’élimination du VIH, parce qu’une personne qui a une charge supprimée  pendant au moins six mois cette personne a très peu de risque de transmettre le VIH et ça c’est un grand avantage pour la lutte contre le VIH », avait fait savoir le Docteur Etienne Mpoyi Mutombo, administrateur national VIH et Hépatites au bureau Pays de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) lors du séminaire scientifique, organisé par l’IAS Education Fund en collaboration avec l’Ong «  Femmes Plus » et l’appui du Programme commun des Nations unies contre le VIH/SIDA (ONUSIDA).

Selon ce médecin, qui intervenait sur les avantages de la «  Prévention combinée », celle-ci est un ensemble d’interventions qui permet d’optimiser la prévention du VIH.  Et de souligner que ces interventions sont taillées sur mesure par rapport à une population donnée dans  un pays en tenant compte de la situation épidémiologique  des personnes  qui sont les plus à risque.

« Donc, à chaque groupe de populations on essaie de voir quelles sont les interventions nécessaires et parmi ces interventions, il y en a qui sont biomédicales comme les Arv, la prophylaxie aux Arv, le préservatif, et d’autres interventions pour casser les barrières dont notamment les interventions structurelles pour réduire la stigmatisation, les violences parce que s’il y a la discrimination et la stigmatisation les gens ne viendront pas chercher les services », a-t-il souligné.

Cependant, poursuit le Docteur Etienne Mpoyi Mutombo, administrateur national VIH et Hépatites au bureau Pays de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS),  il y a aussi des  interventions qui permettent d’améliorer la demande pour que les gens viennent au traitement. Et pour ceux qui viennent au traitement, avait-il insisté: » de faire en sorte qu’ils puissent continuer à prendre les médicaments. Et donc tout ça mis ensemble permet d’offrir une gamme d’interventions de prévention qui soient plus efficaces« .

Rappelons que ce séminaire de deux jours, soit du 22 au 23 juin avait pour thème : « Science et communautés dans la réponse au VIH en Rdc ».

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