Les acteurs socio-politiques du Sud-Kivu expriment leur indignation face aux actes de sabotage et de pillages perpétrés contre les biens communautaires, en particulier les infrastructures hospitalières à Katana, dans le territoire de Kabare.

Le dernier exemple en date remonte à 72 heures, avec les actes de vandalisme commis contre l’hôpital moderne construit pour le bien-être de la population locale. Ces actes barbares sont vivement condamnés et sont perçus comme un obstacle au développement de la région. Amos Bisimwa, l’un des signataires de la déclaration, exprime son incompréhension et son désarroi face à ces actes destructeurs.

Ces actes de sabotage et de pillages sont non seulement un affront à la communauté locale, mais ils entravent également l’accès aux soins de santé pour les habitants de la région. En effet, l’hôpital de Katana était un lieu essentiel pour la prise en charge des malades et des blessés, et sa destruction risque de mettre en péril la santé de nombreux habitants. Les acteurs socio-politiques du Sud-Kivu appellent à une réaction urgente des autorités pour mettre un terme à ces actes de vandalisme et assurer la sécurité des biens publics.

Face à ces événements tragiques, la population de Katana et de la région de Kabare se sent abandonnée et vulnérable. Les acteurs socio-politiques du Sud-Kivu affirment leur solidarité avec les habitants affectés par ces actes de violence et s’engagent à tout mettre en œuvre pour rétablir la paix et la sécurité dans la région. Ils exhortent également la population à rester unie et à ne pas céder à la peur, mais à se mobiliser pour protéger les biens communs et préserver l’avenir de la région.

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