L’atelier d’actualisation du Plan stratégique national multisectoriel de communication des risques et engagements communautaires en réponse à la Mpox en République démocratique du Congo, s’est clôturé sur une note de satisfaction après 8 jours des travaux, avec l’appui du Fonds des Nations unies pour l’Enfance (UNICEF).
A l’issue de ces travaux, qui avaient réuni plusieurs experts au tour des différents défis, a accouché d’un « Plan national » actualisé, les stratégies et interventions contextualisées selon la Revue annuelle intra action(RIA) continentale et nationale. Ce qui va permettre d’améliorer la réponse sur le terrain.
Selon le Coordonnateur du Centre d’opérations d’urgence de santé publique (COUSP), le Docteur Christian Ngandu, qui représentait le Directeur général de l’INSP, ce Plan actualisé va devoir conduire la riposte dans les 3 à 6 prochains mois pour espérer apporter le changement des comportements au niveau des communautés et mêmes les changements sociaux significatifs dans le sens de pouvoir promouvoir la santé et même contrôler l’épidémie.
» (…) Il est important que les communicateurs puissent avoir la bonne information au bon moment et dont les contenus qui soient plus au moins efficaces. La structure de la réponse est que cela se fait sous la coordination du Centre des opérations d’urgence qui est une des directions de l’Institut national de la Santé publique. C’est le COUSP est une structure de coordination qui va travailler avec l’expertise des directions et programmes intrasectoriels et multisectoriel et pourquoi pas les organisations et la société civile. Nous travaillons avec toutes les parties prenantes… », a indiqué le coordonnateur de COUSP, signifiant qu’en qualité de structure de coordination, le COUSP a une spécialité celle de déployer les équipes expertes à partir de la communauté jusqu’au niveau de la tutelle » pour vue que chacun joue sa partition » pour atteindre le feu.
L’atelier avait réuni les participants venus de six provinces hots pot de la MPox. Chacun en ce qui le concerne, avait présenté les spécificités et les défis de sa contrée. Cependant, visiblement, ils sont déterminés améliorer les interventions de la riposte MPOX sur le terrain.
» La province de la Tshopo a des défis, parce qu’au fur et à mesure que la notification gravit cela demanderait à ce que la réponse même accompagne le niveau de notification des cas. Vous savez que la Tshopo fait partie de six provinces hot pot c’est par rapport à la notification des cas mais aussi sur la létalité. C’est ainsi que nous sommes appélés à prendre part à cet atelier », a fait savoir le délégué de la province de la Tshopo.